Nous
avons déjà publié des questionnements sur la Porte ouverte chrétienne,
dont il a été beaucoup question à l’occasion du début de l'épidémie de
coronavirus.
Nos amis du conseil départemental des associations familiales laïques du Haut-Rhin nous tiennent informés.
Nous les en remercions.
Sur la vidéo dont nous donnons ici le lien (pour
l’information la plus complète et la plus impartiale possible de nos
lecteurs) le pasteur Jean Peterschmitt réponds à quelques questions que
lui pose une responsable de l’Eglise.
À l’une des
premières questions posées, d’emblée, il insiste sur la présence de
Dieu, et son pouvoir de guérison. À moins que nous ayons mal compris ,
il décrit la guérison d’une femme d’origine musulmane, clouée au lit,
qui se lève alors qu'elle est connecté sur son ordinateur avec le site
de la Porte ouverte.
Cela nous semble confirmer le sens d’un de nos billets précédents .
Il répond ensuite à une question suivante posée par un auditeur.
Il lui est demandé son opinion sur la liberté d’expression religieuse en France.
Nous
avons retenu deux réponses. La première, c’est le déséquilibre qu’il
ressent face à deux constatations : premièrement la liberté d’expression
de Charlie hebdo , dont il pense que les journalistes outragent les
croyants.
Deuxièmement, les constatations de condamnation infligée à des croyants .
De
notre point de vue à nous, il nous semble que la liberté d’expression
dont "jouit" Charlie Hebdo, son équipe de rédaction l'a cher payée. De
la vie d’une grande partie de son équipe. Monsieur Peterschmitt a le
droit d’avoir son ressenti, nous avons aussi le droit de considérer que
payer sa liberté de tant de vies, c’est le prix le plus cher.
Il
cite trois condamnations. Sur deux d’entre elles, nous n’avons pas
assez d’informations il nous est impossible de développer plus avant.
Par contre il insiste sur les ennuis judiciaires de Madame Christine Boutin.
Sur
ce point, nous n’allons pas le contredire : nous avons retrouvé sur le
site LégiFrance l’arrêt de la cour de cassation qui mettait un point
final à cette procédure et laissons nos lecteurs en prendre connaissance
grâce à ce lien et se faire une opinion par eux-mêmes du discours du pasteur.
Juste
le sujet du litige : Madame Boutin avait défini l’homosexualité comme
une abomination, en ne suivant pas l'avis de la cour d’appel, la cour
régulatrice se refuse à voir dans ses propos qu’ils jugent
outrageants une incitation à la haine ou à la discrimination. En suivant CE LIEN, prenez connaissance du jugement , chers lecteurs, et
forgez-vous votre opinion!
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