Nous reproduisons ici avec l'accord
de l'oratrice qui nous l'a adressé (merci!) le texte de l'intervention
qu'elle a faite au congrès de la FECRIS sur le même thème qu'elle avait
abordé à notre rencontre annuelle à Arches.
Préalablement,
quelques remarques sur la terminologie et sur l’approche qui sera
la mienne.
Le
mot « éducation », sera entendu et abordé ici sous l’angle de
la formation des mineurs. L’éducation dont nous parlons ici est
celle qui lui permettra de développer sa personnalité, de
s’épanouir et de s’insérer socialement en ayant acquis un socle
de connaissances, de compétences et de culture. Ainsi donc le
mineur, devenu adulte, pourra affronter sa vie personnelle et la
gérer en étant un citoyen responsable (et épanoui !) de la société
dans laquelle il évolue.
Je
n’utiliserai pas le mot « secte », mais la notion de dérive
sectaire adoptée par les pouvoirs publics français en 2002
(création de la MIVILUDES). Cette dénomination est plus conforme au
droit français et notamment aux textes sur la liberté de conscience
et la laïcité.
Les
choix lexicaux étant posés, nous allons pouvoir aborder de manière
synthétique cet exposé sur : L’Education
face au risque sectaire en France.
Suite à son intervention, Grégoire Perra avait décrit les inspections dans les écoles dans lesquelles il travaillait.
Suite
à cet exposé Jean-Yves Radigois nous a présenté une étude sur les
conditions d'inspection des écoles hors contrat que nous mettrons en
ligne dès que nous pourrons.
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