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mardi 30 mars 2010

Actu sectarisme Ecologie et sectarisme



C'est fait; la journée annuelle du CLPS s'est déroulée le 27 mars.
Deux des interventions sont déjà en ligne.

Celle d'Evelyne Pleignet, membre du cercle qui a retrouvé dans ses greniers des caisses de journaux alternatifs des années soixante-dix

Je suis de la génération du baby-boom et après l’échec de la période pré-révolutionnaire des années 60, une partie de ma génération, dont moi aussi, bien sûr, s’est tournée ou réfugiée vers d’autres solutions pour refuser les fonctionnements sociaux, économiques et politiques que nous avions désavoués et combattus en 1968. Les mouvements alternatifs souvent liés à l’écologie, au pacifisme, à la non-violence, à la désobeissance civile, nous ont paru très intéressants. Je me suis abonnée, de 1975 à 1981 (une date pas du tout anodine) à plusieurs revues : le Sauvage, coopté par le Nouvel Obs.,le Pont, une publication locale de Lure, et Ecologie. J’ai conservé ces revues et je les ai donc utilisées pour ce travail de mémoire.
LE TEXTE COMPLET ICI

Et celle de Gilbert KLEIN qui a traité le sujet: préserver l'écologie des dérives sectaires?

Quelques précautions tout d’abord au risque de déflorer le sujet. Nous sommes une association qui tire l’essentiel de ses ressources de cotisations et de dons ; nous ne sommes ni un service administratif ni encore moins une juridiction. Nous savons que nous ne disposons d’aucun pouvoir sinon celui de réfléchir. Si nous avons des décisions judiciaires ou des rapports officiel à l’appui tant mieux mais aujourd’hui ce sera peu le cas. Lorsque des associations et institutions se réfèrent à une doctrine ésotérique mais sans l’exposer publiquement , nous pouvons nous interroger sur les risques de manipulation surtout lorsque des méthodes éducatives et thérapeutiques sont déduites de cette doctrine au sein d’écoles ou par des médecins. Alors que le Ministère de l’Intérieur se dit vigilant à l’égard du recours abusif au bénévolat qui pourrait être un travail dissimulé, nous pouvons nous interroger sur la construction par des bénévoles d’un village. Ce faisant nous ne nous prononçons pas sur l’existence d’une infraction ; mais nous sommes dans notre rôle d’association si nous nous interrogeons sur la porosité d’une doctrine à des procédés qui à force d’englober tous les aspects de la vie peut mener ceux qui s’y réfèrent à se retrancher du monde extérieur et à vivre en marge avec les risques que cela suppose. Si nous n’avons plus le droit de discuter les fondements d’une idéologie, où est le débat démocratique?
LE TEXTE COMPLET ICI


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