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samedi 14 décembre 2019

Encore et encore, NON !!!




D’après le journal Marianne de cette semaine, le site de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires serait amené à disparaître.
Et ses archives seraient détruites.
Pouvons-nous faire appel aux magistrats de la Cour des Comptes? Détruire une documentation accumulée depuis une quinzaine d’années, ne serait-ce pas un gaspillage? Un aspect du problème que les magistrats financiers n’ont peut-être pas eu le temps d’examiner !
Quant à la disparition du site, nous l’avions envisagé des le début des rumeurs de la restructuration de la mission, et nous avons déjà pris soin d’en sauvegarder l’ensemble du contenu. De ce côté là, nous sommes relativement sereins  !
Sauvons la Mission !

1 commentaire:

  1. MISE AU POINT MISE EN LIGNE PAR MARIANNE LE 14 DECEMBRE:
    La publication de cet article a semble-t-il fait bouger quelques lignes. Sollicité à plusieurs reprises par Marianne, le gouvernement nous a adressé les précisions suivantes dans la soirée qui a suivi sa mise en ligne, ce vendredi : le site internet de la Miviludes fera l’objet d’une « remise à niveau technique en 2020 » qui ne remet pas en cause son existence. Dont acte. Au centre de toutes les inquiétudes, les archives de la Mission « seront transférées en toute sécurité au SG-CIPDR [Secrétariat général du Comité interministériel de la prévention de la délinquance et de la radicalisation, NDLR]. » En résumé, « il n’est évidemment pas question de détruire les archives ». Cette remarque n’avait cependant rien d’évident selon plusieurs témoins des réunions préparatoires au déménagement de la Miviludes, pendant lesquelles la « destruction des archives » a été évoquée pour pallier le manque d’espace.
    Il en va de même pour les locaux exigus originellement accordés à la Miviludes : « Il n’a jamais été question de limiter à ce point l’espace dévolu à la Miviludes, assure le service communication de Matignon. Celle-ci disposera de l’espace suffisant pour que les agents puissent travailler, recevoir les personnes et entreposer les archives. L’identification des surfaces et locaux concernés est en cours et les décisions sur ce point seront prises dans les semaines à venir. » Des éléments plutôt rassurants aux airs de rétropédalage… Affaire à suivre.

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