Le
Conseil d'administration du CLPS n'a pas mandaté le bureau pour
réfléchir sur le phénomène djihadiste, la problématique sectaire étant
déjà assez complexe!
Cela
n'interdit pas à l'association de rendre des services concrets ou de
mettre à disposition de ses lecteurs des documents sérieux. Celui qui
est proposé par le lien ci-dessous a été rédigé par des chercheurs dont
l'un est issu de la MIVILUDES, aussi facilitons-nous sa lecture.
Ce rapport porte sur les phénomènes de radicalisation cognitive et
comportementale qui touchent des acteurs islamistes partisans du
djihadisme armé. Afin de mieux saisir la singularité de ce phénomène, on
s’intéressera également – à la marge – à d’autres types de violences
politiques pratiquées par des acteurs non islamistes, ici les groupes
nationalistes corse et basque. Ce rapport repose principalement sur un
travail d’entretiens approfondis avec des militants islamistes (13) et
nationalistes (7) condamnés ou ayant été condamnés pour participation à
une entreprise terroriste. Ces longs entretiens (d’une moyenne de 2
heures) reposant sur une grille commune cherchent principalement à
mesurer les variables de la radicalisation autour de quatre groupes
dominants de variables : les variables socio-biographiques ; les
variables processuelles ; les variables cognitives et les variables
psychologiques. Près d’une trentaine de variables ont été retenues par
les auteurs du rapport
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ET OUVRIR LES LIENS VERS LES DOCUMENTS
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